Surtout ne pas refaire la même erreur qu'au premier semestre 2011 : la BCE avait alors cru à une sortie de crise et avait tenté de resserrer un peu trop vite sa politique monétaire. Pour Mario Draghi la zone euro a évité le pire en ce début d'année 2012, mais elle est encore très loin d'être sortie d'affaire.
Avec une croissance atone, et un chômage qui continue de monter, le président de la Banque centrale européenne estime donc urgent de ne rien faire. Le principal taux d'intérêt de la BCE va rester à son niveau historiquement faible de 1% et les banques de la zone vont pouvoir continuer à bénéficier d'une politique de prêt particulièrement avantageuse.
Or ces deux mesures ne font pas l'unanimité au sein du Conseil des gouverneurs. La Banque centrale allemande a notamment fait part de sa préoccupation face à une inflation qui dépasse les 2%. Mais Mario Draghi l'a répété : il est prématuré d'envisager une autre stratégie et en la matière, a-t-il dit, c'est le président de la BCE qui a le dernier mot
Avec une croissance atone, et un chômage qui continue de monter, le président de la Banque centrale européenne estime donc urgent de ne rien faire. Le principal taux d'intérêt de la BCE va rester à son niveau historiquement faible de 1% et les banques de la zone vont pouvoir continuer à bénéficier d'une politique de prêt particulièrement avantageuse.
Or ces deux mesures ne font pas l'unanimité au sein du Conseil des gouverneurs. La Banque centrale allemande a notamment fait part de sa préoccupation face à une inflation qui dépasse les 2%. Mais Mario Draghi l'a répété : il est prématuré d'envisager une autre stratégie et en la matière, a-t-il dit, c'est le président de la BCE qui a le dernier mot
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